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EN PASSANT PAR LA HOLLANDE;;;

Les partisans de Hollande étaient au rendez-vous hier soir sur la chaîne France2.
Ceux de Sarkozy aussi mais ils étaient plus discrets...
On vote à droite mais on ne le dit pas.
On vote à gauche et on le revendique.

Gauche, droite, centre, extrême gauche, extrême droite, tous confondus le sont restés. Je veux dire "confondus". La confusion était présente sur tous les sujets, les grands sujets et les petits.

Vous me direz, mettre dans le même sac la taxe professionnelle, le BIT, la Cour des comptes, les pauvres et les riches, les chômeurs, les enseignants, la fonction publique, n'aident pas l'électeur lambda à éclairer sa lanterne. Si tant est qu'il puisse l'allumer (la lanterne) car avec le prix des carburants qui flambe (ça peut être dangereux) !

Le vainqueur à l'arraché me paraît être Sarkozy :plus de compétence, plus de gouaille, une énergie volontaire, des alliances avec l'Allemagne, un certain regard sur le monde féroce qui nous  cerne, pas de pommade, pas de concession, du direct  en pleine face.

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Présentation recueil REVES D'AILLEURS

Dans ce recueil, l’auteure, Anne Stien, aborde tous les thèmes. L’amour, la passion, la haine, la violence mais aussi la vie en ce qu’elle a de plus précieux, loin des artifices et des bassesses. Tout est dit quand s’expriment l’émotion, la tendresse, l’émerveillement devant la splendeur de la nature, son éphémère beauté, tout au long des saisons.  Ainsi, s’agissant d’un poème intitulé « Le pays de Thelle », on peut lire : « Les sentiers en sous-bois inclinant aux soupirs Offrent aux promeneurs des  virées buissonnières. Dans les petits jardins frémissant au zéphyr, Les amours éclosent, fleurs aux boutonnières ». Quelques textes poétiques viennent clore ce recueil paru aux Editions Langlois Cécile sous le numéro ISBN 979-10-93510-04-0 au prix de 13 €.  http://www.editionslangloiscecile.fr

HYPNOSE

Prix Paul Verlaine Juin 2011 Dort mon jardin secret, la mémoire encor vive,    Un souffle me conduit, je remonte le temps, Lors de mes jeunes ans, en saison de printemps, Je flâne près de l’eau, en restant sur la rive, Un orage survient, je me sens si craintive, Mon cœur se fait tambour, chamade en contretemps, Je chute dans le lac, étrange passe-temps, Un quidam maussade déambule en coursive. Je me noie en ces eaux, fatales inerties, L’image du bonheur s’imprime en facéties, Frôlement du néant troublé par maints appels, Sauveur de nulle part, ange tant bienvenu, L’homme s’en est allé, demeurant inconnu, Parfois certaines nuits, je rêve aux archipels. Anne STIEN    

LE PAYS DE THELLE

Les vertes collines demeurent souvenir Fécondes et riches de coutumes fières Maintes branches fleuries, entêtant élixir, Ornent certains chemins aux talus de bruyères Les sentiers en sous-bois inclinant au soupir Offrent au promeneur des virées buissonnières Dans les petits jardins frémissant au zéphyr Les amours éclosent, fleurs aux boutonnières Les lacets des coteaux avivent le désir A Gaïa de s’unir sans regret ni œillères Jusqu’à la fin des temps nimbés de plaisir Ces folles errances par l’intime loisir Enrichissent l’âme perdue en ses prières Belle plénitude d’un serment sans faillir