Perso, j'adore les « Simenon »
(toute une époque) et pas seulement les »Maigret ». J’aime les
romancières anglaises et américaines, Patricia Cornwell et son héroïne légiste
Kay Scarpetta, Phyllis Dorothy James
lorsqu’elle narre les états d’âme de son jeune enquêteur très british
qui, afin de supporter l’inhumanité de son sacerdoce, compose des poèmes.
La liste est longue mais ma
préférée reste Patricia Highsmith pour ses thrillers psychologiques – Eaux
profondes, le journal d’Edith, les Ripley, le cri du hibou en ne citant que les titres les plus connu -
pour la plupart adaptés au cinéma.
Je citerais aussi Patricia
Mac Donald, Elisabeth George, Michael Connelly, Mary Higging ClarK et j’en
passe, sans oublier Madame Agatha Christie et son enquêteur favori Hercule
Poirot…
Il faut mentionner aussi les
auteurs américains de polars
noirs, Raymond Chandler et son œuvre impérissable, notamment Le grand sommeil, Adieu ma jolie, La dame du Lac, JH Chase, pour Eva, Pas d’Orchidées pour Miss Blandish,
Requiem pour les blondes…
Je n’oublie pas de noter
également Frédéric Dard dans tous ses romans, hormis les « San Antonio » et autres « Berrurier »,
n’entravant que dalle à l’argot.
Tout compte fait, nos
contemporains sont bien accompagnés de leurs ainés lesquels n’ont pas à avoir
honte des écrivains de polars d’aujourd’hui. La succession est assurée. On peut
y remarquer Fred Vargas pour ses romans haletants dont l’ambiance capte avec intensité
le lecteur, maintenant un suspens à couper le souffle. J’ai une préférence pour « L’homme à l’envers », « Sous
les vents de Neptune » et « Dans
les bois éternels ». Les longs et
frissonnants polars du nord de l’Europe m’ont laissé de glace ! Avez-vous
lu la série du millénium ? Brr… Il faut endosser sa polaire et boire du
thé bouillant pour se revigorer !
Néanmoins il est toujours intéressant de découvrir les auteurs suédois
et norvégiens. Entre stalactites et stalagmites, le mystère reste enfoui sous
la calotte glacière L’humour froid se pratique avec un flegme étonnant. De
crime en crime, le lecteur est tenu en haleine.
Tout cela pour vous dire que
les pages d’un livre se tournent d’elles-mêmes. Les mots, les lignes, les
paragraphes nous touchent. Nous n’en sortons pas indemn
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