De ton doux regard bleu de
sienne,
Pétillant et narquois, je
me languis,
A l’ombre de la tonnelle
ancienne,
Par temps moite quand
souffle le chergui.
Le vent, chargé de sable,
brûle l’âme,
Soumise aux tourments de ton désaveu,
Douleurs et souffrances,
lancinant drame,
Aux remords tardifs, l’inutile
aveu.
Ennemis enchaînés, cœur
en déroute,
Nos cris résonnent, j’essuie
mes pleurs,
Dans mon esprit, tu as
semé le doute,
Par nos feux éteints, les braises se meurent.
Par nos feux éteints, les braises se meurent.
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