ONZE SEPTEMBRE
Je n'oublierai rien de ce jour épouvantable,
Ton corps tombant de haut comme une pierre,
Depuis le ciel devenu l’enfer véritable.
Pour ton courage devant la mort je suis fière.
Ton corps tombant comme une pierre,
Loin de moi, si loin de moi, je m'en aperçois,
Pour ton courage devant la mort je suis fière,
Je tends les bras vers toi mais il n'y a que moi.
Loin de moi, si loin de moi, je m'en aperçois,
Les
peuples ingrats ne se souviennent guère,
Je
tends les bras vers toi mais il n'y a que moi,
Univers
à feu et à sang, cruelle guerre.
Les peuples ingrats ne se souviennent guère,
Crimes, sévices, trafics de tous acabits,
Univers
à feu et à sang, cruelle guerre.
Les
enfants meurent pour gagner le paradis.
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