LES SOMMETS DE L’AME
Les
caresses des nuages impalpables,
Aux douceurs nébuleuses ineffables,
Parent les massifs aux flancs généreux,
Sublimant leur caractère vaporeux.
Les vertes prairies, en multiples quinconces,
Tendres aquarelles, semailles et semonces,
Echiquier primitif, palettes de couleurs,
Créent un damier naturel de splendeurs.
La neige dessine un feston blanc,
Sur les hauts sommets en un seul élan,
Un tapis immaculé de poudreuse
Recouvre chaque vallée bienheureuse.
Hélas tu pleures encore, tu gémis,
Mais l’amour est un poison impuni,
A l’infini l’écho lointain d’un soir
Vient ranimer ton profond désespoir.
Aux douceurs nébuleuses ineffables,
Parent les massifs aux flancs généreux,
Sublimant leur caractère vaporeux.
Les vertes prairies, en multiples quinconces,
Tendres aquarelles, semailles et semonces,
Echiquier primitif, palettes de couleurs,
Créent un damier naturel de splendeurs.
La neige dessine un feston blanc,
Sur les hauts sommets en un seul élan,
Un tapis immaculé de poudreuse
Recouvre chaque vallée bienheureuse.
Hélas tu pleures encore, tu gémis,
Mais l’amour est un poison impuni,
A l’infini l’écho lointain d’un soir
Vient ranimer ton profond désespoir.
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