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Parution de l'Echelle des jours"

Voous pourrez voir, commander, lire en contactant la maison d'Edition http://www.editionsplumesdocris.fr En avant première la couverture
BONNES FETES A TOUS

LE SOURIRE DE MARILYN

Le sourire de Marylin En proie à ses démons Fausses bonnes mines Gouffres de la dépression Obsédante recherche D'une femme sans espoir Sans la moindre perche Pour la sauver de l'enfer noir Des tourments de l'âme Dépourvue en amour Bouleversant drame D'une enfance sans retour

Avoir la passion des mots

Pour écrire en poésie il faut en avoir le goût, la motivation et aussi ce qu'on appelle communément l'inspiration, laquelle se fait parfois fugueuse et capricieuse. Il ne faut pas se décourager. Reprendre l'ébauche et travailler. Je crois avoir en moi une facilité, une sorte de faculté dont les fées à ma naissance m'ont pourvue. C'est l'écriture, celle qui fuse comme un geyser d'eau, fraîche et cristalline. Je pense souvent que c'est grâce à elle que j'ai surmonté les épreuves de la vie. Lorsque le moral est à un degré frisant la température du pôle nord, je mets en route un poème classique de forme régulière. La difficulté de faire passer l'émotion et ce qu'on veut exprimer en respectant la règle de prosodie est si grande que bien souvent je laisse un schéma en plan, lui donnant ainsi le temps de mûrir, de prendre consistance, de s'orienter vers le thème qui se dévoile au fur et à mesure de l'écriture. Le bénéfice de cette pratique e

THELLE EN PLENITUDE

Les vertes collines demeurent souvenir Fécondes et riches de coutumes fières Maintes branches fleuries, entêtant élixir, Ornent certains chemins aux talus de bruyères Les sentiers en sous-bois inclinant au soupir Offrent au promeneur des virées buissonnières Dans les petits jardins frémissant au zéphyr Les amours éclosent, fleurs aux boutonnières Les lacets des coteaux avivent le désir A Gaïa de s’unir sans regret ni œillères Jusqu’à la fin des temps nimbés de plaisir Ces folles errances par l’intime loisir Enrichissent l’âme perdue en ses prières Belle plénitude d’un serment sans faillir

BABELIO

Les Faux-Semblants - Nouvelles - Anne Courset-Stien Anne Courset-Stien tous les livres sur Babelio.com C'est sur BABELIO pour les commandes, les critiques, les extraits...

Songe astral

Perdu en profondeur tant noyé de larmes Mon esprit ébloui par la beauté du ciel Dôme orné d'étoiles doux univers sans armes Explorait la nuée au dessein pluriel Mon esprit ébloui par la beauté du ciel En ce bleu parchemin en cette infinitude Explorait la nuée au dessein pluriel Du berger l'étoile trouva la latitude En ce bleu parchemin en cette infinitude, Dans l’ombre de la nuit un noctambule gris Du berger l'étoile trouva sa latitude Et tomba à genoux tant il était épris Dans l’ombre de la nuit un noctambule gris Se mit à danser sous le beau clair de lune Et tomba à genoux tant il était épris Nos destins réunis au pied de la dune Se mit à danser sous le beau clair de lune Riant jusqu’au matin, il fit un pas de deux Nos destins réunis au pied de la dune Furent scellés dès lors en pacte amoureux

Etre ou ne pas être

 Je ne peux manquer de citer Tsilla Chelton, interprête bien connue de Tatie Danielle. Un pensée au passage pour Tatie Zoé dont les défauts majeurs ressemblent à ceux de sa lointaine cousine... J'imagine que Tsilla  regarde le monde, depuis son nuage favori, riant sous cape de voir que rien ne change, les hommes seront toujours les hommes, et l'histoire avec un grand H, ne sert que de référence de temps à autre mais jamais d'exemple à suivre ou à ne pas suivre. Des "chaises" de Ionesco, en passant par Brecht et Shakespeare, Tsilla a d'ailleurs reçu le Molière en 1994, à la guerre des boutons, Tatie Danielle, Alexandre le Bienheureux, elle a interprêté des centaines de rôles, donné des cours d'art dramatique en ayant quatre enfants et un mari ! Performance et talent réunis en une seule personne, Tsilla peut être fière de son parcours. Ce matin en regardanrt le ciel où s'illuminent les nuages au levant, je l'imagine avec une poche remplie de bout

DUNES NOIRES

      La route étroite et longue traversait le pays des dunes. Les dunes noires... Je m'étais toujours demandé pour quelle raison ces monts de sable doré avaient pris ce nom. Lorsque le soleil brillait dansun ciel vierge de tout nuage, les pentes douces se paraient de pierres précieuses et renvoyaient les rayons solaires avec mille reflets chatoyants. Mon regard se perdit très loin, là où l'azur rejoint l’océan en une courbe parfaite. Mes pensées vagabondaient en toute liberté. La mer aux liserés d'écume blanche, s'échouait sur le sable lisse en soupirant inlassablement. Je m'interrogeais sur le sort immuable de l'humanité. Nous venons au monde, nous grandissons puis vieillissons et enfin nous mourons. Une fois encore, je tentais de trouver un sens à tout cela. J'avais beau retourner le problème de tous les côtés, aucune issue de secours ne se mit à clignoter. Je baignais dans une sorte de torpeur mélancolique. Je franchis un portillon au p

Le polar dans tous ses états

  Perso, j'adore les « Simenon » (toute une époque) et pas seulement les »Maigret ». J’aime les romancières anglaises et américaines, Patricia Cornwell et son héroïne légiste Kay Scarpetta, Phyllis Dorothy James   lorsqu’elle narre les états d’âme de son jeune enquêteur très british qui, afin de supporter l’inhumanité de son sacerdoce, compose des   poèmes. La liste est longue mais ma préférée reste Patricia Highsmith pour ses thrillers psychologiques – Eaux profondes, le journal d’Edith, les Ripley, le cri du hibou   en ne citant que les titres les plus connu - pour la plupart adaptés au cinéma. Je citerais aussi Patricia Mac Donald, Elisabeth George, Michael Connelly, Mary Higging ClarK et j’en passe, sans oublier Madame Agatha Christie et son enquêteur favori Hercule Poirot… Il faut mentionner aussi les auteurs américains   de polars noirs,  Raymond Chandler et son œuvre impérissable, notamment Le grand sommeil,   Adieu ma jolie, La dame du Lac,   JH Chase, pour

Les vacances de Mme HULOT

        Les fumeurs de pipe sont au paradis avec sans doute les fumeurs de Havane !!! Mon oncle, Jacques Tati et Gainsbarre eux ne font pas leurs bagages. Ils vivent des jours meilleurs au quotidien et se soucient comme d'une guigne de ce qu'ils vont lire sur le prochain nuage. Mais je suis sur terre, non terre à terre, un peu la tête ailleurs ! C'est pour cela que je fais une liste pour ne rien oublier. Et notamment mes livres à lire et à relire. Dans ma valise vont s'empiler mon dernier recujeil, (nouvelles)" Les faux semblants" sorti  en Juin 2012, commande sur le site http://editionsplumesdocris.fr .  Egalement le recueil "Cendres" aux Editions les 2 encres ( http://les2encres.net ) et l'incontournable recueil poétique "Altitude" ( http://www.edilivre.com ). Pour varier, j'emporte le roman de Stéphanie Hochet, "Les Ephémérides"' dont j'ai fait la connaissance au cours d'une soirée rencontre très

LES FAUX-SEMBLANTS

Plume, plume, plume L'encrier te fait de l'oeil Tu frémis dans la brume Gare aux pierres de l'écueil Tu pourrais heurter l'enclume Forger ton propre deuil Façonner la tendre écume Ecrire longtemps sur un seuil Choisir le thème sur le bitume Lire et conter le recueil Celui du jour sans amertume Les Faux-Semblants sur un treuil Avec épices et aux agrumes Pour tous, enfants et aïeuls http://www.editionsplumedocris.com  

LES BEST-SELLERS

 A propos des best-sellers... à  lire aux Bahamas (!!!) (Pour mémoire aux anciens de Nousvelles.com, à glisser dans la rubrique "Barakobahamas") PS D'ailleurs, je n'ai toujours pas de barakobahamas, n'ayant vendu aucun de mes best-writers ! Best-sellers obligent et donnent leurs lettres de noblesse à l'auteur abasourdi devant tout ce tintouin; On s'arrache l'oeuvre, on clame haut et fort l'avoir lue, on fait partie des initiés, ceux qui connaissent enfin la vérité, cette légende biblique tirée par tous les cheveux de Marie-Madeleine... J'avoue ne pas m'attarder sur ces "best-money" car je pourrais succomber au virus Levymusso, redoutable prédateur dont la piqure de rappel chaque année déclenche une offensive générale que les marchands du temple entretiennent à coup de matraquage ! Restent le bouche-à-oreilles. le tam-tam (j'ai laissé le mien quelquepart), l'esperanto, le morse, la méthode sténo Duployé, ainsi que

UN DIMANCHE A LA CAMPAGNE

Demain, je vais chercher mon recueil "LES FAUX-SEMBLANTS" tout frais sorti des rotatives ! Mon éditeur, les Plumes d'Ocris, me remettra en main propre le premier exemplaire. Je suis parcourue de tous les frissons qu'on puisse imaginer, ceux du plaisir anticipé de tenir entre mes mains ma prose mise en page dans une couverture choisie, aux couleurs de l'arc-en-ciel, ceux de  l'angoisse de l'auteur, comme chacun sait, ceux dûs à la fraicheur de l'air de ce dimanche passé à  la campagne auprès de mon éditeur dont l'accueil courtois ne manquera pas de  réchauffer le coeur. J'espère toucher un large public. Outre un entretien avec Sandrine Raffin, du journal l'Echo du Thelle, je programme quelques dédicaces dans des librairies. Dès que j'en aurai  confirmation, je posterai les adresses. Néanmmoins, vous pouvez déjà commander l'ouvrage en ligne aux Plumes d'Ocris   http://editionsplumesdocris.fr/Pages-auteurs/anne-courset-st

PAPIER ET NUMERIQUE

Les" assises" ont ceci de formel, c'e'st que les protagonistes sont tous assis en cercle plus ou moins concentriques. Si on prend pour exemple les gradins, comme l'émisphère de l'assemblée nationale, la localisation droite, centre, gauche, a enfermé les esprits des députés plus ou moins dépités, dans des clivages interdirectionnels limitant leur vision au nombril de tout un chacun, à savoir qui, du centre, de la gauche, de la droite,sera élu au prochain tour.Les sièges de ces "assises" étant éjectables, les z'élus font attention à leurs flancs, droite ou gauche, tout en gardant une ouverture au centre, histoire de pouvoir retourner leur veste. Mais je m'égare... Les écrivains, eux, n'ont pas de veste, leur maigre revenu ne le leur permet pas ! Ils ont leur dernier livre sur la table et attendent des lecteurs improbables. A droite, un parcours fléché de désillusions en chute de moral, on peut rêver des chutes du Niagara, craindre d'a

AU GALOP

Tiens aujourd'hui on nous incite à raconter des histoires ! Il y en a tant ! Laquelle choisir ? Je suis cotonneuse ce matin !   Le soleil fait une apparitioin câline tandis que l'arc-enciel d'hier soir s'estompe dans la palette des couleurs célestes. Il ome semble entendre la voix malicieuse de ma grand-mère cachée derrière  un nuage rose. Elle s'écrie : Sainte Claire, tenez la pluie en l'air ! Ma is voilà, la sainte dort encore dans son paradis de sainteté. Ce n'est pas comme Jeanne d'Arc dont un bachelier cancre déplorait la mort sur le bûcher en odeur de sainteté ! A Rouen, ils se souviennent encore de la fumée noire qui prenait à la gorge tandis que notre guerrière nationale chantait pour Rouget de l'Isle les premières notes de la Marseillaise, comme quoi la divination a ses sources dans les cendres sacrées. Mais assez de racontars malvenus, les Normands sont chatouilleux, moins que les Bretons, quoique avec leur Mont Saint Michel, ils n

concours de nouvelles de Syllabaire Editions

Syllabaire Editions lance un concours de nouvelles. Vous pouvez d'ores et déjà aller sur leur page FB et sur leurs site et forum. N'hésitez pas à vous inscrire dès maintenant. Le règlement y figure. Pour écrire votre nouvelle (thème libre de 1000 à 4000 mots), vous disposez d'un large délai jusqu'au 30 septembre 2012. Auteurs débutants ou confirmés, rejoignez Syllabaire Editions (éditions numériques). http://www.syllabaire-editions.com/ http://www.forum.syllabaire-editions.com/ http://www.syllabaire-editions.com/le-concours-de-nouvelles-de-syllabaire/

SOLSTICE

Blondes sont les moissons,   en fête du solstice Sur les planchers vibrants, valsent tous les danseurs Dans les verts sentiers, flânent les promeneurs Près des coteaux roussis, l’amour est subreptice J’ai croisé ton regard, belliqueux armistice Nous avons fait serment d’oublier nos malheurs En nous aimant toujours sans perdre nos valeurs Celles du bon vouloir refusant l’injustice Sous l’arbre des tourments,   à l’ombre des aïeux Les astres scintillent, orfèvres des cieux Se cherchent nos lèvres, tendresse amoureuse Terre de nos enfants, songe de l’avenir Les feux de la Saint-Jean sont coutume heureuse Séquence émotion,   flamme du souvenir