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AH SI J' ETAIS RICHE



En France, nous avons l'argent honteux et suspect. Toutes les personnes quI se sont enrichies par leur investissement personnel, que ce soit en tant qu'entrepeeneur ou en tant que financier, sont montrées du doigt. On leuri prend les trois quarts de leurs gains. Bien sûr il existe les filières pour l'évasion fiscale mais cela est illégal. Pourtant, ce sont ces gens-là qui font tourner l'économie. Alors les cadres moyens et les employés et ouvriers devraient prendre en compte leur tranquiliité d'esprit et leur salaire régulier. Ce n'est pas un inconvénient mais un avantage que d'être dégagé des soucis que cause une entreprise à propos du carnet de commande, de la balance comptable etc..., Je n'évoquerai pas ici les régimes spéciaux des fonctionnaires et autres corporations (sénateurs, députés, ministres et j'en passe). Tou compte fait, ISF ou pas maintenant on y est vite si on est propriétaire), il faut être fier de ce que l'on a réalisé et Emile Gaymard peut l'être à divers titres. changeons cette mentalité gauloise qui consiste à critiquer tout et n'importe quoi et à ne pas aller de l'avant.

(Extrait d'un sujet ouvert par Emile Eymard sur Facebook)

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HYPNOSE

Prix Paul Verlaine Juin 2011 Dort mon jardin secret, la mémoire encor vive,    Un souffle me conduit, je remonte le temps, Lors de mes jeunes ans, en saison de printemps, Je flâne près de l’eau, en restant sur la rive, Un orage survient, je me sens si craintive, Mon cœur se fait tambour, chamade en contretemps, Je chute dans le lac, étrange passe-temps, Un quidam maussade déambule en coursive. Je me noie en ces eaux, fatales inerties, L’image du bonheur s’imprime en facéties, Frôlement du néant troublé par maints appels, Sauveur de nulle part, ange tant bienvenu, L’homme s’en est allé, demeurant inconnu, Parfois certaines nuits, je rêve aux archipels. Anne STIEN    

LE BONHEUR DU JOUR

Je m’appelle Yves mais tout le monde m’a surnommé Yvon ou, quand je suis en colère, Yvan le Terrible. Il paraît qu’il a existé. Il a même été tsar de Russie. Moi, Yvon, je travaille le bois. J’aime son odeur, son toucher et sa belle allure quand j’en ai fini avec lui. Il faut préciser que je suis ébéniste et heureux de l’être. J’ai la faculté d’exercer un métier où je me réalise pleinement. C’est à la fois une activité et un plaisir. En ce moment, je rénove un  meuble ancien que j’ai déniché dans le grenier poussiéreux de mes parents. C’est un « bonheur du jour », petit secrétaire destiné à la correspondance. Cela fait maintenant près de trois semaines que je remets à neuf ce ravissant petit meuble. Il est réjouissant de voir réapparaître les nervures du bois et de percevoir son odeur. Je laisse un moment planer mes pensées et lève les yeux. Par la fenêtre ouverte, me parviennent le gazouillis des oiseaux, la sourde rumeur de la ville et le carillon de Ste Eulalie. ...

LE CABINET

. LE CABINET C’est un petit endroit appelé cabinet, Le lieu privé de toutes les co mm odités, Où l’on se tient assis lorsqu’on est chagriné, Le petit coin recherché pour l’inti m ité. Ce n’est pas un cabinet de curiosités, Ni l’excellent cabinet m i nistériel, Encore m oins le cabinet de l’indignité, Tout si m ple m ent, c’est le cabinet essentiel. Celui où naît par f ois la m atière de l’écrit, Le fonde m ent m ê m e de la sé m antique, L’e m place m ent pour pousser un cri, Lorsqu’enfin le bon m ot survient, artistique. Le cabinet, depuis Versailles jusqu’à nos jours, S’est m éta m orphosé sans ostentation, Pour voir des objets rares, on fait le détour, Ce sont m es m ots et m es élucubrations.                                      ...